JEAN-LUC STEINMETZ :
Quand il écrivait ses "réflexions", le chat Murr ne se gênait pas pour arracher les pages d'un livre imprimé qu'il avait trouvé chez son maître et, sans songer à mal, utilisait ces pages aussi bien comme sous-main que comme buvards. Les feuilles restèrent intercalées dans le manuscrit et... voilà qu'on les imprima elles aussi, comme si elles en avaient fait partie. (E.T.A. HOFFMANN)